Lucien Schweitzer Galerie d'art

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 Patrick Bailly-Maître-Grand & Andrej Pirrwitz

08 avril mars - 14 mai 2011 
Vernissage le jeudi 7 avril à partir de 18:00 h
Heures d’ouverture Mardi - samedi de 10h00 à 18h00

Deux salles, deux photographes plasticiens. Pour cette édition 2011 du Mois Européen de la Photographie, la galerie Lucien Schweitzer présentera le travail récent de Patrick Bailly-Maître-Grand comme introduction à l’exposition personnelle qui lui sera consacrée en 2012.
« Poussé par une créativité débordante, ce « manipulateur » d’images n’a de cesse de chercher à élargir son champ de recherche plastique et n’hésite pas, pour ce faire, à recréer ou inventer de nouveaux procédés techniques. C’est dans cet esprit, qu’il redécouvre entre 1983 et 1990 le daguerréotype, dont il est aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands spécialistes contemporains.
Ce sera l’occasion de présenter la monographie de Patrick Bailly-Maître-Grand « Petites Cosmogonies » en coédition avec les Editions MARDAGA, la galerie parisienne Baudouin Lebon et la galerie Lucien Schweitzer.

Le second artiste présenté est Andrej Pirrwitz dont le travail sera souligné par la sortie de son livre « ANDREJ PIRRWITZ PHOTOGRAPHIES » aux Editions BRAUS.
« L’art d’Andrej Pirrwitz s’appréhende comme une expérience. L’artiste investit des lieux désaffectés, qu’il choisit en fonction de la potentialité de leurs qualités plastiques. A la manière d’un tableau, chacun de ces espaces est soigneusement mis en scène. Des objets sont implantés dans ces décors. Ils arborent, par contraste avec la froideur de leur environnement direct, des couleurs vives. Au milieu de ces no man’s land errent des silhouettes fantomatiques et évanescentes.
Pour réaliser chacun de ses tableaux photographiques, l’artiste cumule différents temps de pose ; autant de plans qui sont ensuite superposés au sein d’une même image. Les univers d’Andrej Pirrwitz sont des espaces dilatés, où la poésie s’infiltre de toutes parts. Atypiques, sensibles, ils nous invitent à entrer pour tenter d’y percer le mystère qui se joue sous nos yeux.»